La mythologie, une science que les moldus affectionnent et particulièrement les archéologues. Mais vous ne connaissez pas encore toute l'histoire, laissez-nous vous la conter.


Il fut un temps ou sorciers et moldus ne pouvaient pas vivre en harmonie comme de nos jours, un temps reculé ou la Grèce antique bien que peuple de science et de raison abritait en son sein les êtres les plus butés et bornés de toute l'Antiquité. La magie n'existe pas c'était ainsi, ce n'était que des pouvoirs donnés par les Dieux de l'Olympe à de simples mortels pour nous prouver leur toute puissance. Les hérétiques étaient vivement châties.Parlons en de ces dieux immortels et engendrés sans d'ailleurs contact charnels, vous y croyez vous?

Et si je vous disais que ces dieux vénérés pendant des décennies n'étaient en fait que des sorciers, très puissants certes, mais des sorciers avides de pouvoir et de reconnaissance, jouant avec les moldus , les avances sur leur échiquier personnel? Oh bien sur leurs pouvoirs étaient réels, mais ce n'était que de la magie, de la poudre aux yeux des simples mortels. Ces dieux prirent vite l'habitude d'être adulés, choyés et traités en divinités, si bien que lorsque leurs vies touchèrent à leurs fins, ils se réunirent bien décidé à survivre coute que coute.Une incantation, du sang, des sacrifices et leur âme fut modifiées.

Les corps mortels moururent avec les dieux de l'Olympe et la reddition de la Grèce face à Rome. Mais n'est-il pas étrange que quelques années plus tard,un panthéon romain regroupent les mêmes divinités, pseudonymes exceptés? Oui le sortilège avait fonctionné, les âmes avaient bien été transposées dans un autre corps, un corps que l'ame pouvait choisir, un réceptacle pour une âme damnée à tout jamais. Ce schéma se répéta des siècles durant jusqu'à ce qu'un fléau les frappe, le christianisme, cette stupide religion monothéiste stoppant leur frénésie d'adulation et de conquête. Ils n'eurent d'autre choix que de sommeiller, les religions celtes étant elle-même remplacées par ces chrétiens. Le sommeil fut long


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StoneHedge, réceptacle d'âmes damnées , témoins de phénomènes inexpliqués mais tout à fait explicables quand on sait qu'elle abritait les âmes de ces chères divinités. Le sommeil avait été long, mais le serait encore pour certains.Il ouvrit les yeux, vides de toute émotions sans corps ou s'abriter il erra à la recherche d'un corps à posséder à hanter et à utiliser surtout. Heureux hasard que voici, ce fut un sorcier, un jeune sorcier qui fut le premier réceptacle d'Hades, gardien et dieu des enfers aux pouvoirs obscurs et méconnus.L'enfant était fort, enfin l'adolescent, ne le laissant pas prendre entièrement le contrôle de son esprit, le refoulant bien souvent et cohabitant avec cet intrus.Mais la rentrée approchait et Poudlard fut bientot à portée de main pour Hadès qui se régalait déjà. Oui Poudlard serait sa première conquête, après tout il s'était réveillé le premier et seul, il prendre d'assaut cette école, le reste viendrait par après.

Ce qu'il ignorait c'est que dans le train le menant à Poudlard, trois autres divinités souriaient déjà à leurs rêves de conquête et de gloire retrouvée...

Le lycée Dong-Yang de Séoul, quant à lui, se trouve au cœur de la capitale de la République de Corée. Il s’agissait auparavant de deux écoles privées différentes, soit le lycée San pour les garçons puis Kkoch pour les demoiselles. Ils furent combinés pour faire un seul établissement scolaire à la suite d’une décision choc de leurs administrations. La direction conserva la nature privée de leur nouvelle école tout en apportant des modifications radicales sur d’autres plans. On note d’ailleurs souvent la particularité de cette institution coréenne qui est loin d’être comme les autres malgré les similarités de base. Par-dessus le marché, le changement amené par le regroupement apporte son lot de réactions chez les jeunes affectés. Certains sont heureux d’enfin pouvoir côtoyer des camarades du sexe opposé, car ils demeurent néanmoins des adolescents, alors que certains ne se gênent pas de montrer leur mécontentement envers la distraction que cela apporte… Celle-ci pouvant nuire à leurs études qui étaient déjà assez pénibles avant cet acte d’unification des deux bâtiments.